Bonjour à tous,
Voici une autre réflexion qui me tracasse depuis un certain temps.
En effet, si le réchauffement climatique entraîne une augmentation des eaux, cela revient à remplir un verre un peu plus, et donc si un corps est immergé celui-ci à tendance à remonter : c'est la loi de la poussée d'Archmède (flottabilité d'un corps). Cette flottabilité résulte d'une pression inférieur plus importante, donc suivant les masses différentes des continents certains auront tendance à se lever plus rapidement que d'autres. Cette levé entraînera des relâchements de contrainte entre les plaques tectoniques, provocant probablement des glissements entre elles et donc des tremblements terre soudains et violents.
Enfin, tous ceci reste hypothétique, mais cette hypothèse reste souligné par des scientifiques.
Alors soyons vigilant, et changeons nos comportements.
samedi 8 juin 2013
mercredi 5 juin 2013
Eco-épidémiologiques : La menace fantôme
Bonjour à tous,
Il y a quelques mois, j'ai pu entendre la possibilité de propagation d'un virus (le coronavirus). Cela m'a interpellé et inquiété également.
En effet, les changements climatiques, que nous vivons actuellement, pourrait permettre à des microbes de se développer, et notamment sur une différence de quelques degrés. Ainsi des virus qui sont habituellement situés dans des régions plus chaude du globe, serait susceptible de remonter vers des zones plus froide mais pas suffisamment pour les empêcher de se développer. Ce sont alors des risques éco-épidémiologiques.
Dans ce cas, les personnes vivant dans ces zones seraient affaiblis devant une telle menace vu que leur système immunitaire n'aurait pas créer les anticorps correspondant.
Sur cette même logique, nous pourrions voir immigrer des animaux appréciant les climats tempérés ou chaud, dans les rivières mais également dans les airs et les terres. Menaçant ainsi l'éco-système de nos régions et de notre agriculture.
Tout comme dans le film de Roland EMMERICH "The Day After Tomorrow", nous risquerions de voir des déplacements de zones de culture et d'urbanisation ou de brusques afflux de réfugiés vers des zones moins touchées.
Cependant, le film nous montre une période de glaciation et non un réchauffement global de la planète. Par conséquent, les déplacements de population se feront vers des zones plus chaudes.
Il y a quelques mois, j'ai pu entendre la possibilité de propagation d'un virus (le coronavirus). Cela m'a interpellé et inquiété également.
En effet, les changements climatiques, que nous vivons actuellement, pourrait permettre à des microbes de se développer, et notamment sur une différence de quelques degrés. Ainsi des virus qui sont habituellement situés dans des régions plus chaude du globe, serait susceptible de remonter vers des zones plus froide mais pas suffisamment pour les empêcher de se développer. Ce sont alors des risques éco-épidémiologiques.
Dans ce cas, les personnes vivant dans ces zones seraient affaiblis devant une telle menace vu que leur système immunitaire n'aurait pas créer les anticorps correspondant.
Sur cette même logique, nous pourrions voir immigrer des animaux appréciant les climats tempérés ou chaud, dans les rivières mais également dans les airs et les terres. Menaçant ainsi l'éco-système de nos régions et de notre agriculture.
Tout comme dans le film de Roland EMMERICH "The Day After Tomorrow", nous risquerions de voir des déplacements de zones de culture et d'urbanisation ou de brusques afflux de réfugiés vers des zones moins touchées.
Cependant, le film nous montre une période de glaciation et non un réchauffement global de la planète. Par conséquent, les déplacements de population se feront vers des zones plus chaudes.
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